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Pas de problème avec la suite, puisque les parisiens de Stanley Kubi sont des têtes connues, même si ce sera la première fois qu’on les verra sans leur trombone, parti pour de nouvelles aventures… Avec donc l’habituel trio basse/guitare/batterie, le bassiste prenant parfois le piano d’assaut, plus le joueur d’épinette des Vosges, qui la lâche aussi pour la mandoline quand ça le prend, et un chanteur incontournable, le set démarre de manière bordélique comme souvent, avec les lumières qui s’éteignent 5 minutes avant que le groupe soit prêt, mais dès que ça commence il n’y a plus grand chose à dire, juste à apprécier : le “Autre / Rock” peut aussi s’appeler “hardcore folklorique” si l’on veut, les alternances de parties calmes avec une prépondérance des instruments acoustiques étant largement contrebalancées par les envolées largement rock du groupe, et on inclut les performances vocales de Macario dans le groupe, car sa voix est toujours aussi étonnante, oscillant entre rires d’outre-tombe et hurlements, en passant par du chant presque classique… Au passage, il y a aussi une distribution de verres (remplis, bien sûr !) au public, des apartés qui tombent plus ou moins à plat, mais c’est souvent le résultat espéré puisque l’idée est de s’éloigner au maximum des standards habituels du rock ! Et en ce qui concerne l’absence du trombone, j’ai trouvé que cela donnait un set légèrement moins varié qu’avant, mais toujours totalement jubilatoire, ce dont on ne doutait que très peu à vrai dire ! < Matttbrrr > Le cinquième concert est assuré par le groupe Stanley Kubi venant il me semble des Vosges. Stanley Kubi vient d’un univers musical issu d’un monde parallèle que eux seuls perçoivent. Impossible de définir le style du groupe. Environ toutes les 2 secondes, on passe de la petite chansonnette aux gros riffs rageurs plein de hargne. Le groupe change d’univers, transitant d’un style à un autre complètement opposé. A ma connaissance, le groupe qui leur est le plus proche est Psykup. Le chanteur, véritable show à lui tout seul, passe son temps à faire des grimaces et des mimiques digne d’un aliéné. Au début, je l’ai trouvé très énervant. Mais au fur et à mesure des titres et des interludes, le personnage devient vite attachant. Surtout que vers la fin du show ils ont distribué au public des gobelets de rhum pur. Ca aide... < Le bruit et la sueur > A signaler également la présence de l'orchestre le plus trash du bassin de la Seine, souvent présenté comme un croisement intempestif de Naked City et des musiques d'Emir Kusturica, à savoir les Stanley Kubi. < Laurent Catala > Il n’y a que Mac Lyndon, le chanteur unique en son genre de Stanley Kubi pour demander aux mineurs de reculer. La raison évoquée ? L’alcool va couler à flot ! L’homme au microphone complètement déjanté tient sa promesse quand, un peu avant la fin du concert, il tend des gobelets de rhum au public qui ne se fait pas prier. A ce rythme, chacun aurait remporté haut la main le 50 mètres pour trinquer avec ces zygotos venus d’on ne sait où, qui pourraient croiser la route de Gogol Bordello… < Clo's Song - Hexalive > Si vous écoutez du hardcore et rien d’autre, et si vous êtes assez puriste et sectaire, je vous préviens, arrêtez de suite la lecture de cette chronique, car STANLEY KUBI magnifique groupe originaire de Paris et Rouen donne dans le déjanté, le foufou-core, et la folie pure ! Mais attention, pas dans le n’importe quoi ! Ca non, plutôt dans quelque chose qui coule de source et de super bien structuré, car ce groupe possède un univers bien à lui qui allie violence, folie, exubérance, outrance, jonglant d’un style à l’autre, passant ainsi sans difficulté du hardcore, au jazz, à la musique tzigane, la fanfare, le flamenco… et tout cela dans un seul titre par moment ! Il s’agit donc d’une formation de six musiciens avec une partie classique soit chant/basse/guitare/batterie auquel s’ajoute une mandoline et un trombone et qui donnent toute sa particularité au groupe. Le son est superbe, les musiciens extrêmement compétents, les compos magnifiques, l’originalité entre chaque morceau bien présente, il faut juste persister sur certains morceaux pour bien accrocher car certains ont beaucoup de breaks successifs. Enfin bref, vous l’aurez compris ce cd est fantastique et STANLEY KUBI est sans aucun doute un des meilleurs groupes français du moment ! Alors surtout qu’ils continuent comme cela, car je suis fan jusqu’à la moelle !!! Et les gars, si vous nous lisez, n’oubliez pas d’envoyer ce cd à Mike Patton, je suis sur qu’il sera intéressé ! < Wil - Nawak Posse > Il en va des groupes punk comme des fromages : les meilleurs vieillissent en cave. Voilà pour l’introduction qui ne veut rien dire mais qui peut faire sourire l’amateur de formules à pâte molle. Nous pouvons maintenant entrer dans le vif du sujet : Stanley Kubi est un groupe normando-parisien plus underground que la station Oberkampf, plus indépendant que les îles Féroé et considérablement plus excitant que la perspective d’une soirée avec Christine Lagarde. Ce sextet parisiano-rouennais ne se contente pas d’associer le culte de Stanley Kubrick à celui de l’éthylisme. Ça, c’est la formule de départ, telle que posée depuis le 45 T The Winter Can Be Fantastically Cruel qui charcute Shining au son des hurlements de Macario. Ah ! Macario, "hurleur pour dames" selon la propagande officielle kubiste, organe majestueux dont le timbre n’est pas sans parfois rappeller Jello Biafra soi-même. Cette voix démente est l’un des atouts majeurs qui garantissent la puissance de l’assaut kubistique. Mais de puissance il n’est pas seulement question, et c’est ici que les choses deviennent vraiment intéressantes. Car Stanley Kubi tient autant de la fanfare balkanique que du combo hardcore. Toutes les chroniques consacrées au groupe soulignent leur usage d’instruments pas particulièrement destroy : mandoline, trompette et autre épinette des Vosges. Le son qui en résulte, peaufiné au fil d’un EP ( Dying For A Drinkie ou Lolita en grand besoin de désintox) et d’un album paru l’an dernier ( Music By..., variations alcoolisées sur les fourberies de Barry Lyndon), c’est celui qu’auraient pu avoir les Pogues s’ils avaient été originaires de Mostar ou de Sofia. Ou de Rouen, apparemment. Mêlant l’énergie punk à un sens de la mélodie qui nous cueille par surprise (comme sur l’irrésistible He Loves As Bird Sings sur Music By... ), la musique de Stanley Kubi joue à saute-accords dans un joyeux boxon qui, tel un Ferrero Rocher, ravit les sens et file directement aux hanches. Résumé en trois mots, c’est Taraf Bungle Kennedys. Côté scène, les Kubi tournent plus que des derviches bourrés. Vous trouverez les dates sur leur site, sur lequel on peut également écouter l’album dans son intégralité. < Jediroller > Stanley Kubi est certainement l’un des bordels musicaux les plus sympathiques que j’ai eu l’occasion d’écouter. Vous l’aurez compris, il est question ici d’un culte assez étrange voué au feu-réalisateur Stanley Kubrick, auteur de nombreux chefs-d’œuvre du 7ème art, qu’il me semble inutile de présenter. La pochette de l’album est un détournement de l’affiche du film Barry Lindon (de Stanley Kubrick, donc...), qui finalement témoigne bien de l’aspect décalé de leur musique. Parce qu’honnêtement, j’ai beau chercher une filiation directe entre le film de trois heures, très lent, très beau et très sobre (j’ai beaucoup aimé ce film) et leur hardcore déjanté, un brin manouche, mélange de guitares saturées, de mandoline, de trombone et de chant crié, je n’en ai pas trouvées. Ah si, le titre "Gentlemen" utilise en guise d’introduction les deux premières secondes de "Tin Whistles" de Sean O’Riada, thème principal du film... Et "Resist The Invaders" qui reprend l’air sifflé par l’armée prussienne dans laquelle Barry Lindon est enrôlé malgré lui. Il y a aussi "Fortune & Condtition" qui reprend carrément l’"Adaptation Du Trio De Piano en mi Mineur" de Schubert, autre thème musical récurrent de Barry Lindon. Bon en fait si, l’album est plein de références. Il n’est cependant pas nécessaire d’être un cinéphile averti pour apprécier ce disque. Music By est une production soignée, je dirais même subtile. Chaque instrument est traité avec un égal soin, et le chant semble avoir été considéré comme l’un d’eux. Dans un sens, cette production romprait même avec leur style scénique très explosif, ce qui m’a un peu dérouté à la première écoute. Mais passé ce stade, on se rend compte des véritables qualités musicales du groupe. La pagaille musicale n’est en réalité qu’une façade à l’image de formations comme Gogol Bordello, The World/Inferno Friendship Society ou les frenchies de Jabul Gorba (avec qui le groupe a déjà partagé la scène), et Stanley Kubi offre un festival millimétré de rythmes syncopés, enjoués, ou encore très langoureux, et parfois très bourrins, le tout souvent dans une seule chanson. À l’image du groupe, le chanteur change de registre toutes les 30 secondes, il parle, il rit, il crie, il chante (quand même), mais la plupart du temps, il hurle. À titre d’exemple, le morceau "Wine Or Punch" nous livre un bel aperçu de son répertoire. C’est pourtant le côté épique de leur musique que j’apprécie le plus, le morceau "He Loves As A Bird Sings" offre ainsi une longue introduction toute en crescendo et en mélodie du plus bel effet. On pourrait situer le groupe entre Naked City et Mr Bungle, avec en plus un côté mélodique très marqué et des rythmes souvent très entrainants. Etonnamment, Music By reste assez accessible, et je le conseillerais à tout bon amateur de rock un peu hystérique, ou même de punk rock. Un morceau comme "Gentlemen" donnerait presque envie de lever son poing en l’air et de chanter en choeur... Bref, avec Music By, Stanley Kubi prouve que sa musique dépasse largement le cadre du simple délire, et que les références si particulières servent avant tout un véritable univers musical. Si sur scène, ils étaient pour moi déjà incontournables (profitez-en, ils sont français !), ce premier album confirme largement l’intérêt que je leur porte. Un groupe qui mériterait d’être bien mieux connu, tant pour son originalité que pour ses qualités musicales. < Léo - Punk Fiction > Et ensuite sur la scène sont apparus les musiciens de Stanley Kubi. Le groupe est composé de français inspirés par Stanley Kubrick (ce que l’on peut voir sur leur page internet). En parlant de leur musique on dit souvent que c’est un mélange de noise rock sarcastique et de cabaret. Et c’est vrai ! « Les Monsieurs » du groupe semblaient être du genre calme, un d’entre eux avait un T-shirt de « TheUsaisamonster »… C’est au moment où j’ai vue le chanteur que j’ai changé d’avis : il était impressionnant. De carnation sombre, habillé en noir, avec une petite barbe, il ressemblait à un démon (diable). Ni plus ni moins, je vous le jure, un pixie (troll) ou quelque chose dans ce genre. Il est sorti devant le public et il a commencé à tester le micro pour l’accorder avec ses cris artistiques. Le show a commencé avec les premiers accords. Les musiciens étaient excellents. Ils ont joué sur beaucoup d’instruments, dont pas mal d’instruments exotiques comme la mandoline. Le vocaliste ne se tenait pas debout sur la scène mais il courait parmi les spectateurs. Il nous a fait un excellent cabaret. Il n'a pas chanté mais avant tout crié. On aurait dit qu’une tornade soufflait dans sa direction, c’était plein d’expression. J’étais assise à côté d’une colonne et tout un coup, j’ai vu le chanteur qui me regardait avec un sourire maléfique… Le concert était plein de surprises. La musique de Stanley Kubi, c’est la plaisanterie et la virtuosité. Le groupe a été appelé pour faire un rappel et on a pu de nouveau entendre tous ces sons mélangés. Cela ressemblait un peu à la musique des Balkans et à System Of A Down, c’est peut-être parce que les musiciens n’avaient pas l’air d’avoir des racines européennes. Mais c’était juste un PLUS, cela a apporté la rythmique orientale et la fantaisie. Le rappel était surprenant. Au début c’est le groupe qui a joué et puis ils prenaient les gens du public alors on a pu chanter (4 personnes en ont profité) mais aussi jouer. Le groupe a dopé ceux qui étaient sur la scène. Le concert s’est transformé en rassemblement de gens qui aiment et qui font de la musique. Les spectateurs ont pu faire le concert avec les artistes, les membres du groupe ont changé les rôles, par ex. : le batteur de Usaisamonster a joué du trombone et le guitariste de Stanley Kubi a chanté... J’ai passé une excellente soirée. Le niveau de jeu était très bon et le charisme des artistes rayonnait de la scène. The Usaisamonster et Stanley Kubi, encore inconnus en Pologne, ont fait un show de haut niveau, comme les stars populaires qui eux prennent beaucoup plus d’argent pour leurs concerts. C’est avec plaisir que je participerais encore une fois à un tel show musical. < Sylwana (traduit par Elwira) > Lorsqu'un OVNI atterrit dans votre boite aux lettres, on ne sait pas comment le prendre. Alors on y va délicatement, par étapes. D'abord la pochette, plutôt réussie il faut bien l'avouer, un très drôle détournement de l'affiche du film Barry Lyndon. Ensuite mettre le disque dans une chaîne Hi-fi (oué je sais, c'est ringard.
Elle lit même pas les mp3) Le cocktail est pour le moins surprenant, jugez plutôt : Forcément, avec un nom pareil, le groupe s'est spécialisé dans la reproduction éthylique des musiques de films de qui vous aurez reconnu. Là c'est au tour de "Barry Lyndon" donc. Il me reste un souvenir vaporeux de la BO de l'époque, un morceau des Chieftains, elle y est en version disco-épinette. Sous l'aspect potache de la pochette et du projet, se cache un groupe de gens qui savent jouer, orchestrer et (très important en ces jours politiquement corrects) foutre le bordel, avec un petit soupçon de subversion. En tout cas les Stanley Kubi on plus d'un mérite, ils bénéficient d'une auto production de qualité, de s'adonner à un exercice de style très original, d'être de groupe de chez nous (ou à peu prés) et de ne pas reculer à la vue d'un petit canon. D'après ce que l'on peut lire ici et là, sur le groupe, il semblerait que le vrai choc se fasse sur scène, donc allez sur leur site internet, voir si par hasard ils passent près de chez vous. M'est avis que ça vaut le détour. Une chose troublante est à noter, ces jours ci on peut voir, dans certains cinémas, "Barry Lyndon" à l'affiche. De deux choses l'une, soit les Stanley Kubi sont des visionnaires, soit il s'agit d'un plan à l'échelle internationale orchestré en haut lieu. A vous de juger. < Froggy Delight > Ils ne m’ont pas ménagé ! Un troupeau de fous entre la furie des BLOOD BROTHERS, KABU KI BUDDAH, PATTON, LUCRATE MILK et autres allumés du bocal. Moi là dedans je m’y perds complètement, sacré foutoir, un délire complet qui n’empêche pas d’avoir affaire à de sacré zicos, inventifs à souhait. Sur scène ce doit être terrible, inutile d’anticiper l’ivresse, elle viendra d’elle-même avec le son, les orchestrations, pire qu’un kubi de rouge. L’effet tournoyant est assuré par trombone, basse, guitare, mandoline, etc… Par contre honnêtement je me demande où ce groupe peut bien aller chercher ses influences : en psychiatrie, en laboratoire, c’est sacrément expérimental. Ont-ils des parents, des tuteurs, des amis et comme le suggère la pochette, le teste urinaire de dopage a-t-il été correctement réalisé ? Punk fou théâtrale alcoolisé !!! < Cafzic > Eu égard au nom du zine et au goût pour l'alcool de ces mecs là, Stanley Kubi devrait être parrain de ladite feuille de choux. Sauf que moi, j'ai l'alcool con (voire très con), eux, ils ont plutôt l'alcool loufoque, à entendre la musique qu'ils jouent. Ce disque (vinyl et cd), inspiré par le film Barry Lyndon, est parfait pour tous les amateurs de musique fofolle. Un petit lapin Duracell branché sur le 220 chante, hurle et couine tandis qu'une fanfare balkano-irlandaise sous acide (trombone, mandoline, épinette des Vosges, guitare, basse, percussions) saute à pieds joints sur des pédales de disto en interprétant un thème de Schubert. Ca à l'air incroyable dit comme çà, hein ?? Et ben ça l'est... C'est pour ça qu'il faut écouter ce super disque (les deux d'avant aussi, d'ailleurs) et surtout aller les voir en concert. Ceci dit, avant d'aller les voir, la rédaction vous conseille d'avaler deux cuillères à soupe d'huile, pour bien tapisser les parois de votre estomac. < Gueule de Bois > "Rythme irrégulier qui peint bien le trouble et l'épouvante. Pagaille. Rythme altéré pour le rendre plus expressif". C'est comme cela que Stanley Kubi se définit (c'est en tout cas la phrase qui est notée au dos du disque). Vous ne la comprenez pas ? L'écoute du premier album du groupe parisien vous fera sensiblement le même effet. Mais ne pas comprendre une chose ne signifie pas forcément ne pas l'aimer. Il en est ainsi avec ce disque qui, sous des airs folkloriques et voix chevrotantes, met le boxon dans les têtes. Est-ce du punk, du hardcore, du jazz, de la world music ? Non, c'est tout çà à la fois. Un peu comme si Victims Family, Crass, John Zorn et Gogol Bordello partouzaient ensemble. < Punk Rawk > Initialement prévus en tête d'affiche, les 6 Stanley Kubi montent immédiatement sur scène, pour un set ultra-court de 20 minutes (il faut compenser le retard pris au départ), mais d'une intensité qui compensera la brièveté du set ! Avec les instruments habituels (batterie, basse, guitare, trombone, épinette des Vosges, mandoline...), et un Macario toujours déchaîné au micro, on a droit à un set de genre assez indéfinissable, entre punk, jazz, et folk, mais on en oublie, qui permet aux spectateurs de danser et rire en même temps, les changements de rythme se liant très bien avec les cris du chanteur comme avec les envolées au trombone, le tromboniste en profitant pour parfois vocaliser... un spectacle toujours impressionnant, à vrai dire, et je reviens sur mes premiers écrits : on aurait vraiment aimé que cela dure plus longtemps ! < Mattt Brrr > Il est des disques dont on n’attend rien, des groupes qu’on glisse dans son lecteur sur les conseils d’un ami, et qui vous scotchent littéralement. Ainsi du premier opus hallucinant des Parisiens complètement barrés de Stanley Kubi. Furieuse, exigeante et d’une efficacité incroyable, la musique du sextet, ornementée d’une trompette en guise de fil rouge, vous rend tout simplement heureux et donne envie d’emmerder votre voisin en faisant péter les watts. Car, pour faire court, Music by, c’est Frank Zappa qui fait un bœuf (fou) avec Love, c’est Mike Patton qui pige (plus rien) chez Calexico, ou encore la rencontre des Dead Kennedys et Infectious Grooves — c’est dire comme le sextet place la barre haut, tout en classe et érudition. Le plus grand de tous les temps ? Pas encore, mais de tout l’étang, assurément. < Ventilo > En fait, je les ai vu sur amiens. Je me suis fais chier et j'ai perdu de la thune. Ils copient sur radikal satan et en plus à chier ! < Delannoy Grégory > Sextet venu des environs de Rouen pour apporter aux oreilles du public une débauche de sons étranges, Stanley Kubi se positionne contre toute attente à un juste milieu entre le hardcore et la bande originale de film et s’efforce de porter sa musique au public au travers de différents chemins de traverse depuis 2004, date du big bang ayant conduit à sa naissance ! Pour Trax Bullingdon (mandoline, dulcimer…), Pak Grogan (guitare), Mak Lyndon (cris et vociférations), Igor Potzdorf (basse et piano), Syl Quin (trombone) et Morej Runt (batterie), le principal est de se démarquer du reste de la production et d’amalgamer entre eux des sons que rien ne rapproche sur le papier pour en arriver à un savant mélange qui se place de lui-même à mi-chemin entre la musique et la cacophonie. On s’y risque malgré tout… Prenez Droopy et faites lui jouer de l’épinette des Vosges pour avoir une idée initiale de ce que Stanley Kubi peut apporter comme première impression quand sa musique vous saute dessus au détour d’une platine… Sympathique non ? Un petit côté free jazz par-dessus histoire de faire le trait d’union avec de violents relents hardcore et l’affaire est dans le sac, Stanley Kubi vient de vous interpeller et de vous prendre par le bras pour vous emmener au plus loin de son délire, vous attirant par son côté brass band sur « He Loves As A Bird Sings… And A Rose Blows From Nature » puis vous déroutant avec son « Wine And Punch, My Lord ? » pour mieux finir de vous en mettre plein les yeux et plein les oreilles à grands coups de guitares assassines et de trombones versatiles sur « I Beg Your Pardon », « Big Boys Don’t Sleep With The Candle Lit » et autres « Resist The Invaders » qui entérinent définitivement et irrévocablement le côté hors des modes mais aussi hors des temps d’un groupe pour lequel le terme original n’est absolument jamais galvaudé ! On aimera ou on détestera, chacun est libre de son jugement, mais passer à côté de « Music By », c’est prendre le risque de rester con plus longtemps qu’il ne le faudrait… < Fred Delforges - Zicazic > Pochette classieuse, musique sautillante, rien à jeter. Mon pote Sassan (un anglais,
ancien punk -il a rencontré Johnny Rotten reconverti en mercenaire pour le hezbollah, et plus récemment en barman
du bar le plus chaotique de Mayotte et le plus proche de chez moi! "l'Iguane café") est venu à
l'apéro l'autre soir pendant que j'écoutais votre galette. Il m'a sorti une réplique sans appel après
deux minutes d'écoute : < Fred from Mayotte > Bonjour, Pouvez-vous me confirmer que vous faites bien les réceptions de mariage juif ? < Francine Benayoun > Vous aimez les mecs complètement allumés, vous aimez la mandoline, le trombone
et l’épinette des Vosges ? Vous aimez Nomeansno, Mr Bungle, Dog Faced Hermans et Serge Prokofiev ? Alors, vous
raffolerez de Stanley Kubi. < Punk Post Punk et autres phénomènes insignifiants > Recylart n'a jamais été synonyme de ponctualité, ni de bonne organisation,
hier c'était le bordel : plus d'1h1/2 de retard.... < Preumont > Quand on arrive, l'étonnement est grand chez les Stanley Kubi, qui ne s'attendaient visiblement pas à retrouver des compatriotes à 1300 kms de Paris... Avec les 3/4 d'heure de retard classique, les 5 musiciens entament leur set sur une scène assez grande, pendant que leur chanteur Macario décide de rester "au milieu" du public, qui ne s'élèvera pas à plus d'une vingtaine de personnes... Avec un trio basse/guitare/batterie habituel, agrémenté d'un tromboniste-second chanteur et d'un joueur d'épinette des Vosges (qu'il échangera parfois avec une mandoline), la musique ne peut être qu'étonnante, et ceux qui la découvrent ce soir ne cachent effectivement pas leur surprise : un mélange de punk (pour l'énergie non permanente), de jazz-folk (pour l'épinette, les moments calmes, les délires instrumentaux), d'expérimentation entre Zappa et the Ex, le tout accompagné des cris et vociférations malheureusement souvent perdus de Macario (si la voix se perd, le reste des musiciens sortira de scène heureux du son général) ! Pendant 3/4 d'heure, on a droit à une grosse majorité de morceaux inédits, qui ne déparent pas avec la discographie existante du groupe, et s'il y a des petites fautes, elles ne transparaissent pas pour le spectateur lambda... Autant dire que si les Kubi continuent ce genre de prestation lors de leurs 3 dernières semaines de tournée européenne, ils vont se faire une belle réputation ! < Mattt Brrr > D'ailleurs j'ai vu récement un groupe magnifiquement bon: "Stanley Kubi" c'est une sorte de cabaret sauvage dans lequel se croiseraient les Dead Kennedys, Victims Family et Emir Kusturica. En faisant de petits concerts on s'apercoit vite combien on nous spolie la vraie scène rock française… < K-zen > Amis de la poésie, bienvenue dans l'univers Cabaret-Punk du groupe dans lequel Jérôme Kalfon joue la batterie. < Fcunin > Je vous ai vus au volume ce soir. Je me fous que vous jouiez de la mandoline des Vosges, du tuba de new orleans ou du pipo. Je m'en bats les couilles que vous soyiez plutôt expé genre rock complexe à la mords-moi-le-noeud ou que vous mélangiez les genres des amateurs de genres qui ne comprennent pas grand chose. Votre musique fonctionne, elle est authentique, une expression de ce que nous avons en chacun de nous, ce n'est pas vraiment vous qui jouez. Vous êtes un groupe exceptionnel. Vous resterez dans l'histoire, croyez moi, et tous les sacrifices que vous pourrez faire pour le plaisir de jouer valent les milliers d'écoutes que vous offrirez. J'aurais bien aimé vous le dire en personne, mais j'étais de méchante humeur, j'en suis désolé. Putain, on a combien? deux, trois, quatre groupes comme vous par an? et les trois quarts des habitués du volume (qui comptent parmi la vingtaine d'habitués des sorties musicales de Nice) vous snobentà moitié parce que "ouais, c'est pas mon genre, je sais pas". Ca me déprime. Il suffit que votre successeur, qui a par ailleurs l'air très sympatique, se mette à poil pour créer le consensus. Peu importe, c'est comme d'habitude. Continuez la musique, longtemps. Merci encore pour vos mélodies. < Kneelbefore > Un très gros big up de la part de quelqu'un qui d'habitude n'écoute que de
l'electronique.. < Adam > Enfant illégitime de Primus et d'Haendel (oui c'est possible), Stanley Kubi ose mélanger la mandoline et l'épinette des Vosges (instrument traditionnel) aux vocaux death métal, les rythmiques sans structure aux slows langoureux et avinés, le hardcore noise au chant d'opéra, la folie au sérieux. Bref Stanley Kubi c'est un espèce de cabaret punk où plane l'ombre de Jello Biaffra, de Kubrick et autres fous notoires et géniaux. < Emmetrop > Cocktail qui pousse le public à l’ivresse sonique, la musique de Stanley Kubi est un savant mélange d’instruments (basse, mandoline, guitare, batterie, épinette des Vosges, trombone et microphone) réunis au sein de cet orchestre free punk cabaret délirant. Hurlements, grognements, envolées à la Biaffra ou à la Patton, le registre du chanteur fou et du groupe est largement étendu et revisite toute l’histoire du hardcore, des Dead Kennedys à The Ex, comme l’œuvre de Kubrick. < Radio Campus Orléans > Ils font un truc que je tenterais de définir comme du Tom Waits sous acide écoutant les Butthole Surfers... < Reddef > Retour sur la scène avec Stanley Kubi, les bien nommés. Cette fois-ci, ça ne rigole plus niveau surcomplexité rythmique, et si le sextette se revendique de Mr. Bungle, on a plutôt l'impression d'entendre un orchestre des Balkans qui aurait trop écouté The Dillinger Escape Plan. Outre les traditionnelles basse, guitare et batterie, la formation abuse du trombonne à coulisse, de la mandoline et de l'épinette des Vosges (!), pour un résultat surprenant, à la fois puissant et drôle. Nul doute que le sens de l'humour d'une bonne partie du public a été aiguisé par la distribution gratuite de vieille prune de chez Monoprix, vu le nombre d'yeux vitreux, d'expressions hagardes et de gestes incohérents suite à cette prestation au fort taux d'alcoolémie. < Nanja > Organisateur de la soirée, arrivé sur scène en annonçant la couleur ("on va vous jouer du n'importe quoi"), les six Stanley Kubi ne mentent pas... mais prouvent que le "n'importe quoi" peut être vraiment travaillé! Un chanteur de death-métal qui évoque Jello Biafra, un trombone de ska, une grosse rythmique, un guitariste totalement zen, et un joueur d'épinette des Vosges qui passe à la mandoline, tout cela pour des rythmes variés, décalés, stupéfiants, plaisants... Puisque l'idée est de prendre et donner du plaisir, on en profite pour offrir au public des boissons sur un air traditionnel, puis on repart dans la fureur et la douceur, afin de permettre aux pogotteurs de se mettre en bouche avant le concert de clôture : les Parisiens ont vraiment assuré, et ils vont devenir une valeur sûre! < Matthieu Brun > Pause bar puis les Stanley Kubi commencent leur set. C'est d'ailleurs le même chanteur, même si un habile déguisement à base d'une perruque funky aurait pu lui permettre de tromper le public, mais l'oeil affuté du journaliste de www.liveinmarseille.com ne s'y pas laissé avoir ! Basse, mandoline, trombonne, batterie, des samples, et ce fou furieux aux chant, enfin, hurlements, bon bref... Cassures rythmiques, hurlements, punk destructuré, je retrouve l'ambiance des fabuleux Kabu ki Buddha (je vous ai dit que les Kabu ki Buddha étaient fabuleux ?). Comme le chanteur le dit à un moment, les pouetpouet du trombonne sont là pour donner l'alibi festif et c'est vrai que ça peut être dansant par moment. Mais dansant comme si un groupe de motherfucking ska festif à la con croisait Fantomas, Dead Kennedys & The Ex (et les fabuleux Kabu Ki Buddha...). Mais bon j'vous rassure ça sonne plus hardcore punk défoncé quand même, délirant aussi (cf ma définition du délire qui n'est pas le mot passe-partout de la SMS way of life, vous trouverez donc cette définition dans une chronique de concert d'un excelent groupe, les Kabu Ki Jesaisplusquoi...), foutraque. D'ailleurs vous en avez déjà vu du hardcore à la mandoline vous (Spéciale dédicaces aux Sons of the Desert !). Le petit teigneux de chanteur met l'ambiance en hurlant dans le public, en racontant des blagues (putain j'aime pas quand un groupe raconte des blagues ! ça m'énerve ! Mais bon je dois être le seul intégriste ce soir, le public se marre... Et en plus j'ai pas compris la blague sur Mozart...). Le set se terminera par une reprise très personnelle d'un morceau d'Haendel repris par Kubrik justement dans Barry Lyndon (notez le dans un coin, ça peut vous faire gagner un skeud !). Du hardcore barré qui a scotché le public ce soir. a quand un plateau avec un groupe excellentissime groupe lyonnais que je en citerais pas... < Live In Marseille > Les fameux Stanley Kubi en concert, si tu kiffes que la zique qui va vite-mais-mélodique-quand-même ?? Tu préfères la zique festive mais garantie 100% sans ska ?? tu veux juste boire une petite mousse bien fraiche dans une ambiance saine et joyeuse servie par des barman(e)s poli(e)s et souriant(e)s ?? < Jetlouis > Croyez-le ou non, la France a désormais son Mister Bungle ! Découverte sur scène de ce groupe iiiiincroyable, Stanley Kubi, qui fit fusionner avec élégance l' héritage punk-frenchouille des bérus et un melting-noize digne du grand Zappa. Le concert commençait bien : distribution de Vodka pour tous le monde ! On était déjà tous plus ou moins torchés, mais c'est pas grave : boire ou vomir, pourquoi choisir. < O liv R > |
Stanley Kubi investit ensuite la scène. Le groupe alterne chansons gentillettes genre Hurlements de Léo, et cris saturés apparemment sans buts. Malgré la tolérance légendaire et l'absence totale de jugement arbitraire qui caractérisent chaque membre de VisualMusic, nous nous sommes enfui bien vite vers le bar (2 euros la bière, pas cher !) avant d'aller nous promener dans l'espace associatif. < Hilikkus - VisualMusic > non. non non non. j’y étais. et non. non non non non non. on ne peut pas dire de bien de stanley kubi. ce n’est pas drôle. ce n’est pas bien. c’est même pas original, des types font déjà le coup “on est enervé, puis hop, on est calme, on change de rythme, c’est bizarre” depuis très longtemps. même avec l’épinette des Vosges c’est pas possible. c’est peut être le groupe le plus nul que j’ai jamais vu, et ne me dites pas que c’est parce que j’ai pas compris. j’ai très bien compris. et le coup de passer de l’alcool au public dans des gobelets doit être la chose la plus vulgaire et pitoyable que j’ai eu l’occasion de voir depuis très longtemps. < Emilien > Il s’agit d’une des prestations les plus originales de la soirée et même certainement une des
plus excentriques qui ait été donné de voir à bon nombre du public. Inclassable… Stanley Kubi c’est un chanteur fou et trois
musiciens qui le suivent au rythme d’une musique qui part dans tous les sens. Tantôt douce, tantôt énervée, chaque tournant
nous surprend… c’est véritablement étrange mais bourré d’énergie et de bonne humeur. Ce hard rock timbré doit beaucoup à son
chanteur qui est possédé! Il hurle, secoue la tête dans tous les sens, lèche le micro, se frappe la tête avec, offre des
verres de rhum au public (il a quand même vidé trois bouteilles!) et danse en bondissant dans tous les sens étant plus
présent dans le public que sur scène. < Sophie - Le Hiboo > C’est avec des boules quies qu’il fallait écouter Stanley Kubi, en première partie imprévue
ce mercredi soir à l’International. < Ségolène Dessertine > Je ne connaissais pas, et le commentaire du livret du festival ne m'attirait pas du tout, donc
je trainais au bar, jusqu'au moment où ce que j'entendais de loin me paraissait bien intéressant ... en allant
voir, ce fut une petite révélation !! < Moonlight666 > On compte sur les Stanley Kubi pour mettre l'ambiance avec finesse, bon goût et provocation. Cette troupe d'individus douteux s'arme d'une multitude d'instruments pour faire sonner son cabaret punk : mandoline, épinette des Vosges, dulcimer, guitare, basse, piano, trombone et batterie. Le tout étant soutenu par le chant et les hurlements du frénétique Macario, un homme qui aime sentir le contact du public et qu'on a souvent aperçu aux côtés d'Unlogistic. < Grrrnd Zéro > Un nom improbable pour une musique qui l'est tout autant. Armés d'une solide assise punk, ces cinq-là explorent (explosent ?) dans toutes les directions à la fois, sautant du coq à l'âne, de Barry Lyndon à John Lydon, de l'épinette des vosges au crétinisme des crêtes, voire à l'alpinisme des Alpes. < Rwool > STANLEY KUBI s'est plu dans le rouge. Pas étonnant avec un tel nom. La scène était baignée dans un rouge persistant annoncé d'ailleurs parles équipes de nettoyage sonique précédentes, les VIOLON PROFOND et UNLOGISTIC. Dans le public, pas de changement, on retrouve un des chanteurs d'UNLOGISTIC qui s'attaque directement au public et au bar, haut lieu stratégique toujours sur la défensive avec ses capsules qui semblent inépuisables. Les autres STANLEY KUBI ne sont pas deux mais quatre sur scène. Dans le rouge s'agitent un batteur (et oui, ça existe), un bassiste (qui occupe le premier plan), un gratteux un peu réfractaire au rouge et une mandoline. Musicalement, STANLEY KUBI occupe sans doute à lui seul un chapitre complet du Bouc redécouvert par Tony et Jerry à moins qu'il ne s'agisse du Bouc II. Les incantations traduites en noires, blanches, croches simples, doubles ou triples donnent une sorte de world punk bien barrée portant une voix HxC, bref un truc à faire hurler les puristes de la mandoline qui pourtant dans cette avalanche sonique, arrivait à se faire entendre avec force. Ses notes aigues et les arpèges savants s'ajoutant aux harcèlements du chanteur qui soit dit en passant a la face ornée d'un beau bouc, ont tôt fait de rendre hystérique une partie du public qui venait se frotter à la scène rouge. Peu à peu, grâce à une intendance remarquable l'approvisionnant en jupiler blonde, il s'enhardissait envahissant même la scène. Le rouge ne faisait plus peur, on s'identifié à lui à moins que ce ne soit au Bouc, à m'en pas douter un jumanji littéraire et sonique. Le troisième cercle s'est évaporé...dedans Jupiler rassasiait encore et toujours, dehors, Jupiter s'agitait. < Photorock > Oui ce con de créteux il laisse son sac dehors et je roule dessus avec ma grosse
citroën et crack le vinyl. < Nico > je (Re)fOOOnce... Stanley Kubi n'a pas encore coMMencé... Ah ! Z'êtes là ! Etonnant ? Et... Oh ! Sylvain de PuSSe. ForcéMent ! Dire b'jour aux aMis. En fond sonore, des textes de Bernard DiMey. Le Groupe qui joue sur la Scène 2 (Face à la Scène 4) s'appelle Mon Côté Punk... MusiK tendance Popu/bien/cool/qui fleure bon le vin. Agréable. Le vin ? HuM... Bouquet subtil & transition habile. Here they coMe ! Stanley Kubi Monte sur scène. La Macario, chanteur éMérite et alcoolique, doMine son Groupe, Monté sur une estrade située derrière le batteur... Effet de style, la Macario est une diva (AAAAAh ! AAAAAh ! Hiii-ÛÛÛ !), un chef d'orchestre... AMbiance baloche apoplex'Hic. Stanley Kubi ne reSSeMble (Toujours !) à rien, sinon à FantÔÔÔMas revisité No Means No et ZiZique Régionale. Mignon, le p'tit Stanley Kubi, Mignon... Pour vous faire une idée de leur ZiK, le Mieux, c'est de tout télécharger là ou de venir le diManche 03/07/2005, à 20h00, aux Voûtes (19, Rue des Frigos – 75013 Paris)... Je note que Stanley Kubi s'est doté d'une section cuivre Solo/Sylvain. COMme le cinéaste du (Presque) MêMe noM, Stanley Kubi ne recule devant rien ! 1-PoSSible n'est pas Stanley Kubi. Et puis... Il y a les blagues de la Macario ! HuMour Whisk'Hic... Spéciale dédicace aux CRS. Et VoUS VoUDRIEZ paSSer à côté du phénoMène Stanley Kubi ? Nyet ! Personne ne sortira d'ci vivant. C'était bien... Et après, il y a eu de la vodka gratos et des autocollants en veux-tu, en voilà ! Stanley Kubi donne dans le Merchandising caritatif et roboratif. < Me, myself & i > Voilà je mets les photos du seul groupe que j'ai pu photographié étant donné que y'avait pas foule dans le public. (Bizarre parce que c'était excellent). Voilà Stanley Kubi, c'était pas mal marrant : le chanteur bon beh trop chou. A fond dedans. < Equivoque > Le Macario’s band en vrai de vrai ? Non ? Pas possible ? Ca existe ça ? < Julian - Rentdedans > Un nom d’album sur mesure pour un tel groupe ? Ce "Dying for a Drinkie" en
dit long et ne se limite sans doute pas à la référence en image au film "Lolita" de Kubrick
qui constitue la couverture du cd… < Julian - Rentdedans > C'est énorme !!!!!!!!!!!! Du tout lourd comme on l'aime !!!!! Du tout barré dans tous les sens surtout !!! Mais il y a 4 autres tracks d'un autre album qu'il faut signaler parce que c'est tout aussi strange mais délirant !! (Dying for a drinkie). Sinon les visuels sur le site et les "écrits" sont excellents !! Les références à Kubrick.... On devrait en voir plus souvent des sites et de la zik comme ça !! < Math37 > Stanley Kubi : Nous ne sommes plus au Furia où le son était vraiment pas mal.
Ici ce détail disparait pour faire transpirer le bruit. Le chanteur est survolté et hurle dans son micro au
milieu du public. On meurt de chaud dans cet endroit. < Ceibe > Ensuite on voit Stanley Kubi, ça c’est bon, musicalement un peu OVNI, ce hardcore
est marrant surtout le discours du chanteur. < Pit > Si l'idée vous chante d'essayer de décrire la musique de STANLEY KUBI, allez-y et
postez moi votre copie ! J'y ai renoncé. A la rigueur, essayez de vous imaginer le résultat éventuel d'une
répet' de NOMEANSNO avec Mike Patton... on fait moins le malin ? < Keben > 28 juin. Chansons en solo lors d'une soirée pizza au "White Wood" (Lille). After planante à souhait avec Stanley Kubi et Unlogistik au milieu des coupures de courant. < Martin Granger > Un de ces humour qu'il avait le chanteur !!! On a trop déliré avec ma pote !! On été de kaki vétu et on faisait les tarés devant Stanley Kubi !!! On a bien rigolé !!! < Natcho > Bah je pense que c'est surtout un groupe à découvrir en live. Je ne sais pas
si parmi vous certains ont eu droit à une prestation scénique démoniaque des Unlogistic, prestations dont
personne ne sort vraiment indemne, et bien le petit fou gueulard du nom de Macario est le frontman de Stanley Kubi... < Zaknafeineu > Stanley Kubi c'est trop fort et j'aime vraiment ce que çà donne, dommage que le tuba soit pas assez fort quand tout le monde se déchaine, entre Mr Bungle et Pain Killer et Naked City, bref du bon et fort et puissant en plus, Igor est toujours égal à lui même et c'est cool. < Galette > Alpine Static est incontestablement un excellent album, cinématographiquement à classer entre Stanley Kubi et Mc Jean Gabin. < Nextclue > Chargés de chauffer la salle, les Français de STANLEY KUBI n'ont visiblement pas trop à se forcer pour atteindre leur but. Ambiance fanfare de kermesse (cuivre, mandoline) avec néammoins un côté bien barré et un chanteur, au milieu de public, aux intentions rappelant à quelques occasion les performances de Mike Patton, voir Biafra sur un titre assez punk. Entre chaque titre et pour combler les vides dus à quelques problèmes de cordage, le frontman nous raconte quelques conneries et fait passer verres et bouteille aux premiers rangs. Bonne récréation, musique bien agréable et bon esprit. < Oth > C'est de la musique déjantée avec de la vinasse. c'est vraiment chouette. < Knaki > Il s'agit du dernier projet de Monsieur Macario, l'homme qui organise par ailleurs le concert de ce soir. On retrouve avec lui quelques uns de ses anciens collaborateurs au sein de Copyright/Copywrong, son précédent groupe. L'esprit est d'ailleurs très proche de ce dernier. Divers instruments dont une mandoline et un trombone sont réunis au sein de cet orchestre punk étrange. Le public remplit la belle salle voûtée. Dommage pour ceux du fond, la salle ne possédant pas de scène (excepté une surélévation d'une dizaine de centimètres), les derniers arrivés ne verront pas grand chose. Pourtant Macario joue son personnage, déambulant dans le public avec un chant plus travaillé que ses prouesses au sein des Unlogistic. L'ambiance est bonne, la musique de Stanley Kubi développe une atmosphère quasi festive, assez irrésistible, avec pourtant beaucoup d'ambiguïté. Une sorte de cabaret sauvage dans lequel se croiseraient les Dead Kennedys, Victims Family et Emir Kusturica. C'est une bonne entrée en matière qui me remémore la trop courte existence de Copywrong. < Positive Rage > On reconnaît vite le groupe qui ouvre la soirée et qui a dû commencer son show depuis un moment déjà. C’est Stanley Kubi, combo hardcore parigot, plutôt frais et dansant, qui a l’habitude de conclure ses sets par une reprise hybride de la sarabande d’Haendel. J’avais déjà dit ça l’autre soir pour le concert de The Evens aux Voûtes, et bien, je ne le dirai plus puisque Stanley Kubi s’est abstenu de jouer la B.O. de Barry Lyndon hier soir. Après tout, c’est bien fait pour moi, ça va m’obliger à parler musique plutôt que de cinéma. Quoique... J’aime bien le petit cinéma du chanteur de Stanley Kubi, également présent dans Unlogistic, qui passe son temps dans le public à plaisanter et à tendre des bouteilles au premier rang. Petit, costaud, cheveux ras et bouc en ligne longue, le presque jeune homme s’applique visiblement à mettre le feu pour chacun des concerts du groupe avec une belle énergie bonhomme et débonnaire. Hurlements, grognements, envolées à la Biaffra ou à la Patton, son registre et celui du groupe sont largement étendus et s’inspirent de toute l’histoire du hardcore plus que des nouveautés émo, néo, post qui foisonnent en cette période. Du coup, comme les autres fois, j’apprécie le groupe par intermittence, selon les interventions des cuivres ou des mandolines. Il y a des moments ou je m’éclate comme un petit fou secouant la tête benoîtement en pensant à No Means No et d’autres où je décroche complètement. Georges est à peu prêt d’accord avec moi, pas tout à fait, juste pour faire chier. < Nextclue > Calva Calva Hey ! Les Stanley Kubi(-stes ?) n'ont pas les cheveux longs et ne portent pas de Zon'BlouS de cuir (Enfin, sur scène. Je suis sûr qu'au civil, ils portent des Zon'BlouS de cuir ! Si !). Stanley Kubi, c'est pas les RaMones... Non, Stanley Kubi, c'est plus 1-Telligent, bO, et c'est (Surtout !) Moins Mort que les RaMones. A part cela... Heu, Stanley Kubi n'a rien à voir avec les RaMones ! Stanley Kubi est un groupe polyMorphe capable des collages délirO-MusicO-totO les plus 1-Probables... Et, en plus, ils savent jouer ! Je vous l'jure... la preuve ? Hier soir, le concert de Stanley Kubi a coMMencé par un Morceau d'Epinette des Vosges (+ BaSSe + Batterie + Cuivres !). Vous en connaiSSez beaucoup des Groupes capables d'une telle proueSSe, huM ? VOILà ! Maintenant que vous êtes scotchés, MateZ donc la Playlist officielle de Stanley Kubi @ La Maroquinerie : 1. Love Bird. AjouteZ deux cordes (De Guitare) caSSées, un chanteur inviZZZible, un Sylvain (2 PuSSe) qui s'prend pour un chanteur de HardCore, de la Mandoline... Un soupçon de Calva (Et OOOtres substances illégales) ; Shake it well ; Et bOOOM ! C'est un concert de Stanley Kubi ! A déguster avec (Ou sans ?) Modération (Et, sa GirlFriend, Lolita - 1962). Suis-je obJEctif ? Non, Mais je crois qu'hier Stanley Kubi a produit un bon concert (ReMarque : je n'ai pas dit/écrit TRèS bon concert !). Ce n'était pas gagné d'avance car : 1, ils étaient les preMiers à jouer (Et le concert a coMMencer à l'heure ! Un coMble ?) ; 2, dans le Public, rares étaient ceux qui les connaiSSaient... Enfin, sauf erreur de Ma part, le Public a bien réagi (Il a dAAAnsé, scAAAndé, dit des conneries...) et c'était bien. 1-PreSSion. A un MoMent, j'ai pensé : tiens, Stanley Kubi nous la joue "plagistes" (Genre "garçons de la plage" ?). Je ne sais plus à quelle occaZ'ion c'était, Mais bon voilà... A un MoMent, les joyeux MeMbres/tristes drilles de Stanley Kubi étaient SUP'R décontract'EuhS, coolS, prêtS à jouer des TuBBBes (Qui ensoleilleront votre hiver ?). JURé, si vous aiMez la MusiK de ouf'S (L'Opéra revisité HardCore, Le Hip-Hop flûte de Pan, ce genre de TRuCs... Melt Banana ?), vous aiMez Stanley Kubi. Nyet... JURé ! < Me, Myself and I > Eh bien je suis venu voir et entendre de quoi il s'agit et ce fut une bonne petite soirée avec une bonne petite ambiance. J'ai été plus convaincu par le rock'n'roll que par Stanley Kubi : c'est plein d'idées, de sonorités et d'originalité, mais un peu crispant. Très ambitieux musicalement mais pas aussi efficace que leurs homologues américains. Si vous avez vu un concert de Fishbone par exemple... En tout cas pas de regrets d'être venu... < Patrick > Alors... Tout coMMence avec Stanley Kubi, une forMation HardCore Rastaquouère & Radioactive déjà chroniKée dans ce Blog (CheckeZ Ici). D'ordinaire, le chanteur de Stanley Kubi, c'est la Macario... Mais, Mercredi soir, la Macario s'appelait Roberto et nous venait tout droit du BraZiii'L - Hypothèse 1 : la Macario s'est faite opérée en AMérique du Sud ; Sex Change ; On lui a greffé une boule afro sur le crâne / Hypothèse 2 : il s'agit du cousin de la Macario / Hypothèse 3 : Roberto n'a rien à voir avec la Macario ; Il s'agit d'un pauvre Brésilien raMaSSé dans le Métro par le Stanley Kubi Crew ; Dans ce cas, où est la Macario ? Je résuMe : sur scène, les Stanley Kubi (Guitare, BaSSe, Batterie, Epinette des Vosges/Banjo, TroMbonne) et, dans le Public, Roberto. Entre les deux, a glaSS of Calva (This is so sMart and so norMand !). Ca déMarre, les preMiers accord sont définitiveMent HardCores, TRèS carrés... Roberto vocifère. BizaR'Euh/EtranG'Euh, Roberto a TRèS exacteMent le MêMe tiMbre de voix que la Macario (Et auSSi le MêMe huMour. Urk ?). Moi pas coMprendre ! Mais binG... RegardeZ plutôt la PlayList officielle : 01. Resist / I Beg Et c'est tout. < Me, myself & i > Va-t-on aller voir la prestation de Stanley Kubi ? Oui, nous y allons. Autant lors de leur dernier passage j'avais été quasiment emballé par leur prestation, autant là, l'ajout d'un trombone et d'une épinette des Vosges donnait à l'ensemble un côté youkaïdi youkaïda qui me l'a pas fait du tout. Dommage. < Les Carnets de la Moustache > Le groupe qui suit, Stanley Kubi, est difficile à décrire, c'est un joyeux bordel rock. Guitare, basse, batterie, banjo, cuivre pour un résultat tout simplement surprenant. Et j'avoue avoir pris du plaisir à voir cette formation évoluer sur scène, même si ce n 'est pas un genre que j'affectionne tout particulièrement. Et qui retrouvons-nous au chant s'il vous plait ? Le chanteur d'Unlogistic qui s'accapare une nouvelle fois l'espace pour nous faire son show, hilarant ! C'est finalement une assez bonne surprise, ce groupe a vraiment de l'énergie à revendre ! < Triste Temps > Ce sont des gens qui font vraiment de la musique : ils ne se contentent pas de taper sur des
objets inertes pour en extraire un chaos de sons. Non, ils font de la musique. Ils se servent de leurs instruments pour en
extraire des suites de notes élaborées, ils sont tous synchros, ils savent se servir d'instruments communs ou
cocasses, comme les Stanley Kubi ce soir avec leur banjo (c'était bien un banjo?) et leur trombone. < Caro Tamazic > Bref stanley kubi, c'est un peu du n'importe quoi, du noise rock avec de la mandoline sur fond d'extraits VO de films de stanley kubrick (shining et lolita entre autres, enfin je n'arrive pas à reconnaitre tout), le résultat est riche, chaud, génial... et pareil, en live ca vous prend aux tripes... < Rouliane > Jean Levi's Type 1 droit brut. Chaussettes noires. Ballerines vertes pétantes vernies. Ceinture léopard. Tee-shirt des Clash noir. Pull noir col danseuse avec des zips aux bords des manches, avec un badge du groupe Stanley Kubi dessus (qui est rose, avec une femme années 50 dessus). < Ruby Gloom > La première partie est égayée par les furieux de Stanley Kubi, auteurs d'une prestation musclée et assez pittoresque dans la catégorie 'No Means No featuring Yann Tiersen'. Seul point noir : le chanteur n'arrête pas de déambuler dans la salle en emmerdant tous les spectateurs avec le fil de son micro. Il deviendra nettement plus sympathique à la pause, ayant échangé son micro contre un verre de Calva-miel particulièrement réconfortant, vu le froid extérieur. < X Silence > Ceux qui étaient à Furia l'été dernier se souviennent peut être de Stanley Kubi. Ceux qui ne connaissent pas sont invités à y goûter. C'est comme si Tom Waits faisait de la surf music... < Arkangl > Enfin après vous avoir écouté. J'ai vu votre scène sur la péniche alternat. J'étais venu pour SPERMICIDE mais là vous m'avez couper le souffle. Quel déménagement. Oui j'aime cette big industrie et le mélange des instruments. Bravo moi qui aime les sons venus des entrailles comme MAGMA ZAPA ART ZOY STILNOT oui bravo. Continuez vous êtes tous des bonhommes. BRAVO. < Zapa > Ouah, je les ai vu un soir je ne sais plus trop quand à dire vrai, à l'ancien
bikini à toulouse (enfin en dehors, 3/4 d'heure de marche sans savoir où on va !) maintenant discothèque
pour vraie musique... < Joe Bilboquet > C'est un cri, c'est un chant, c'est aussi le désert et le vent... ....Taaaaaaaaaain, mais qu'est-ce que je raconte, moi ?! Au lieu de me racheter une conscience un verre de flotte à la main, il serait grand temps de faire péter la barrique et de vous narrer les exploits électro-redÔ-Punko-Coroacoustiques d'une bande de jeunes, z'et de moins jeunes, qui font de la muzik qui pète et qui claque quand d'autres s'essaient encore désespérément à la télé-réalité. Non. Les SK, c'est tout sauf ça. Tout mais pas ça. Surtout pas ça. Les SK, c'est comme le proclame la page d'accueil de leur site, "une basse, une mandoline, une guitare, une batterie, une épinette des Vosges, un trombone, un piano et un microphone", et c'est déjà pas mal. Les SK, c'est du punk et du rock. C'est de la rage chevillée au corps, présente à tous les coins de riff', des cordes vocales à se claquer la glotte, de la basse qui sue en Vert et Blanc. C'est de l'énergie qui vous frappe en plein cœur à chaque coup de batterie et du pogo plein la tête, plein les pieds. C'est un Punk- Rock essentiel, aux accents festivement hardrougecore, qui ne se réclame de rien, mais qui pourrait exercer ses talents aussi bien avec Goran Bregovic qu'avec la réincarnation de Chopin, dans la gauche ligne des Dead Kennedys, ces hérauts éternels. Bien campés entre la douce Sarabande et la grande Polack tendance haendelieno-chopinienne, illuminés par la divine reprise de Darling Husband des Lucrate Milk, les SK nous proposent pour notre plus grand plaisir, veinards que nous sommes, une tournée française du 26 novembre au 10 décembre, just before The Derby of the world. < Frédéric "Moufles" Morand > Stanley kubi : ENORME surprise. Et oui, moi, fan de oï espagnole ultra violente, ai
été agréablement étonné. Style de musique assez difficileà définir; allez, on
se lance; je dirais que c'est une sorte de fanfare à la dead kennedys avec un chanteur à perruque. Batterie,
tronbone, guit, bass, et pis un zikos qui grattait des instruments à cordes plutôt zarbi. Je me demande si j'ai
pas vu un banjo. Pas assez de rythme punk et ska à mon goût, mais bon, ça change un peu aussi quand
même. < Red John >
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